Conseils pour les parents d'élèves - Le blog myMaxicours https://www.maxicours.com/se/conseils/ La réussite scolaire pour tous ! Mon, 05 Feb 2024 13:34:23 +0000 fr-FR hourly 1 https://wordpress.org/?v=6.3 https://www.maxicours.com/se/wp-content/uploads/2023/07/Favicon-MyMax-150x150.png Conseils pour les parents d'élèves - Le blog myMaxicours https://www.maxicours.com/se/conseils/ 32 32 Collège : comment valoriser les atouts de son ado ? https://www.maxicours.com/se/college-comment-valoriser-les-atouts-de-son-ado/ Mon, 05 Feb 2024 15:34:00 +0000 https://www.maxicours.com/se/?p=30158 On le sait, le système scolaire français est bâti sur les résultats académiques et, parfois, le dialogue entre un élève et ses parents se limite à la question des notes. Malgré leur importance dans l’apprentissage pour évaluer le niveau et encourager l’effort et la progression, les parents doivent aussi prendre du recul sur ce système....

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On le sait, le système scolaire français est bâti sur les résultats académiques et, parfois, le dialogue entre un élève et ses parents se limite à la question des notes. Malgré leur importance dans l’apprentissage pour évaluer le niveau et encourager l’effort et la progression, les parents doivent aussi prendre du recul sur ce système. Il est fondamental d’aider l’adolescent à valoriser ses compétences, sa personnalité et ses atouts, dans tous les domaines de sa vie, pas seulement scolaire. Savoirs académiques, savoir-faire, personnalité, orientation… Tout est lié ! À la clé, gagner en connaissance et en estime de soi, et découvrir sa capacité à faire des choix éclairés !

Souligner ses compétences

Voir son enfant réussir dans des domaines extra-scolaires, qu’ils soient culturels, sportifs, familiaux ou autre, permet de valoriser ses compétences. Il faut l’amener à faire des ponts entre le travail scolaire et son univers extérieur à l’école, alors que les adolescents ont tendance à cloisonner. « Tu as été endurant dans ton entraînement de basket, tu as su rebondir après ce match perdu, et bien c’est le même mécanisme pour un examen ou une mauvaise note ! » L’adolescent doit sentir qu’il est capable, qu’on lui fait confiance, et que ses efforts vont rayonner sur tous les aspects de sa vie !

Apprendre à connaître sa personnalité

Dans cette période si particulière de changement et de construction qu’est l’adolescence, le collégien apprend petit à petit à connaître les points forts et les fragilités de sa personnalité. Là encore, il ne faut pas séparer les milieux (l’école, les activités, la famille, les amis) mais unifier sa connaissance de lui-même. « Qu’est-ce qui te plaît dans le foot ? Le challenge, le travail d’équipe ? ». « Regarde comme tu as été efficace pour organiser une sortie avec tes amis, tu as aimé gérer cette logistique ? ». On évite de comparer avec des camarades ou des frères et sœurs, pour valoriser le caractère unique de l’adolescent : chaque individu peut s’épanouir tant qu’il trouve sa voie !

Redonner goût dans les apprentissages

Cela n’est pas facile, mais il est important que l’élève trouve sa motivation au-delà de la note. S’il ne travaille que par pression ou motivation contrainte, l’effet sur le long terme sera décevant. Il faut donc contextualiser les apprentissages et les raccrocher à ses projets et son ouverture sur le monde. Parfois, c’est aux parents de faire un pas pour découvrir les goûts et l’univers de l’adolescent ! Malgré les difficultés souvent inhérentes à cette période dans les relations enfant-parents, l’essentiel est de garder ouvertes la relation et la discussion, dans un esprit de curiosité et de bienveillance !

L’aider à devenir autonome

La tentation est grande, avec un collégien, de continuer à prendre les décisions pour lui (orientation, stage etc). L’anxiété peut conduire au risque de trop contrôler en l’empêchant de devenir autonome. Pour lui rendre service, il faut prendre le temps de discuter avec lui, de lui parler du monde de l’entreprise, de ses projets, de ses goûts. En se découvrant lui-même et en s’ouvrant au monde qui l’entoure, l’adolescent doit affiner ses choix et comprendre le sens de ce qu’il fait aujourd’hui. S’il fait un mauvais choix ? Ce n’est pas la fin du monde, on apprend de ses erreurs et on rebondit ! Plus on lui aura montré qu’on a confiance en lui, en l’accompagnant et en discutant, plus il apprendra à faire des choix éclairés et libres !

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Comment aider son enfant à lutter contre le décrochage scolaire ?  https://www.maxicours.com/se/comment-aider-son-enfant-a-lutter-contre-le-decrochage-scolaire/ Wed, 17 Jan 2024 10:06:21 +0000 https://www.maxicours.com/se/?p=29474 « Le décrochage est un processus qui conduit chaque année des jeunes à quitter le système de formation initiale sans avoir obtenu une qualification équivalente au baccalauréat ou un diplôme à finalité professionnelle, de type certificat d'aptitude professionnelle (CAP). » (source : eduscol)

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Qu’est-ce que le décrochage scolaire ?  

« Le décrochage est un processus qui conduit chaque année des jeunes à quitter le système de formation initiale sans avoir obtenu une qualification équivalente au baccalauréat ou un diplôme à finalité professionnelle, de type certificat d’aptitude professionnelle (CAP). » (source : eduscol

Comment le repérer ?  

N’ayez pas d’inquiétude si votre enfant manque parfois d’enthousiasme pour l’école ou ressent de la fatigue. Cela ne constitue pas automatiquement un signe de décrochage scolaire. Selon certains spécialistes de santé, il est cependant important de rester attentif, l’accumulation de certains signes méritent une attention particulière.

  • Ressenti négatif envers l’école : ennui, peur, voire rejet envers l’établissement scolaire, pas ou peu de sentiment d’appartenance, refus de participer aux événements scolaires, indifférence, passivité, difficulté d’intégration à la classe, attitude de retrait, isolement volontaire, manque de motivation, pas d’intérêt pour l’école et/ou l’apprentissage, pas d’aspirations professionnelles 
  • Comportement passif : absences et retards à répétition, parfois sans raison particulière, pas de participation en classe 
  • Performances scolaires en baisse ou basses  
  • Moral affecté : estime de soi faible, gestion difficile des émotions, stress, anxiété 

(source : académie de Paris

Nos conseils  

  • Essayer de repérer les signes pouvant indiquer que son enfant est en décrochage scolaire : performances scolaires, comportement passif, manque de motivation, rejet de l’école, etc. 
  • En parler à l’établissement scolaire en demandant l’avis de plusieurs de ses professeurs. Leur demander comment ça se passe en classe et s’ils sont inquiets à son sujet. 
  • Ouvrir la discussion avec son enfant pour connaitre son ressenti de manière générale et notamment par rapport à l’école. Rester à l’écoute, essayer de comprendre, créez un espace bienveillant entre vous et lui sur ce sujet pour qu’il se sente en confiance et écouté.  La communication sera votre allié pour soutenir et aider votre enfant. 

Notre partenariat ZUPdeCO pour lutter contre le décrochage scolaire 

Chez myMaxicours, aider chaque enfant à s’épanouir dans sa scolarité nous tient à cœur. C’est pourquoi nous avons unis nos forces avec l’association ZUPdeCO pour lutter contre le décrochage scolaire.

Pour chaque abonnement de soutien scolaire en ligne acheté sur myMaxicours,

ZUPdeCO offre un abonnement à un élève issu de famille modeste !

ZUPdeCo, qu’est-ce que c’est ?  

Créée en 2005, ZUPdeCO est une association reconnue d’intérêt général qui agit grâce à du tutorat et du mentorat scolaires gratuits en établissement scolaire et/ou en distanciel avec un niveau allant du CM1 à la Terminale.

Elle cherche à réduire le décrochage scolaire et favoriser la poursuite de la scolarité pour TOUS. Pour cela elle offre des sessions de soutien scolaire et d’aide aux devoirs à des élèves en difficulté et issus de familles modestes. Depuis 2007, ZUPdeCO a permis d’aider plus de 44 000 élèves, avec un taux de réussite au brevet passant de 65 % à 82 %. 

Pour aller plus loin

Si votre enfant est en contradiction avec l’école et que vous souhaitez lui venir en aide, n’hésitez pas à participer à notre Atelier des parents « Accompagner mon enfant qui n’aime pas l’école ». Vous pouvez également consulter le planning et l’ensemble de la liste de nos ateliers pour les parents pour accompagner au mieux votre enfant dans sa scolarité.   

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Lycée : comment réussir ton CV ? https://www.maxicours.com/se/lycee-comment-reussir-ton-cv/ Mon, 08 Jan 2024 11:13:23 +0000 https://www.maxicours.com/se/?p=29334 Pourquoi c’est important de bien préparer un CV au Lycée ? « Qu’est-ce que je peux bien mettre dans mon CV ? » Tu te trouves peut-être confronté à cet exercice pour la première fois, pour chercher un petit boulot, trouver un stage ou postuler à une formation dans Parcoursup. Rassure-toi, ce n’est pas si difficile ! Le CV...

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Pourquoi c’est important de bien préparer un CV au Lycée ?

« Qu’est-ce que je peux bien mettre dans mon CV ? » Tu te trouves peut-être confronté à cet exercice pour la première fois, pour chercher un petit boulot, trouver un stage ou postuler à une formation dans Parcoursup. Rassure-toi, ce n’est pas si difficile ! Le CV est en quelque sorte le résumé de ta vie (curriculum vitae en latin), il vise à te présenter, à mettre en avant ton parcours, tes qualités et tes projets, ce qui demande de prendre un peu de recul. Commence par noter sur une feuille blanche quelques traits de ta personnalité, une ou deux passions, tes spécialisations et tes expériences. En face de chaque expérience, qu’elle soit scolaire ou non, inscris la compétence qu’elle t’a permis de développer. Maintenant, comment mettre tout ça en forme, de manière synthétique ? On trouve facilement des modèles gratuits de CV sur internet. Choisis-en un qui te plaît et qui répond à deux critères : être simple et lisible. Il ne te reste plus qu’à organiser ton CV en quelques blocs qui donneront envie de te rencontrer !

Les composants d’un CV réussi

Le profil

Insère une photo sobre mais souriante, les informations essentielles sur toi (prénom, nom, âge, adresse mail, numéro de téléphone) et une courte présentation. Celle-ci peut tenir en deux lignes, utilisant la 1ère personne du singulier et évoquant ta classe, ton projet d’orientation et ce que tu recherches (un job, une formation…). N’oublie pas le petit encart pour les langues vivantes (mais aussi les langues mortes si tu as fait du latin ou du grec) que tu pratiques, en mentionnant le niveau de maîtrise pour chacune.

Les qualités et les compétences acquises

On distingue les qualités, qui sont des traits positifs de ta personnalité (créativité, sens des responsabilités, ponctualité, travail en équipe…) et les compétences, qui relèvent plus d’un savoir-faire technique (montage vidéo, power point, word…). Tu peux les mettre ensemble ou choisir de les séparer en deux parties distinctes. Si tu sèches, pose-toi deux questions simples : « Qu’est-ce que mes proches m’attribuent comme qualités et compétences ? (Tu peux aller leur demander !). « Qu’est-ce que mes expériences ont développé et enrichi chez moi ? »

Centres d’intérêt pour se distinguer

C’est une partie assez personnelle, mais qui permet aussi d’en découvrir plus sur toi et ainsi de te distinguer parmi d’autres candidats. Il s’agit de tes loisirs et passions : sport, chant, jeux vidéo, voyages, programmation informatique, instrument de musique… Tu peux les lister sous forme de pictogrammes pour rendre le tout plus vivant. Évidemment, l’honnêteté est de rigueur, ne va surtout pas risquer d’exagérer voire mentir sur un centre d’intérêt !

Formations et spécialités

Indique ici l’obtention de ton diplôme national du brevet et la mention éventuelle, ta classe actuelle, le choix de tes spécialités et options, ainsi que le nom de ton lycée. Tu peux aussi penser à des éléments tels que la conduite accompagnée ou la réussite de ton Bafa.

Les expériences dans un CV niveau Lycée

C’est peut-être la partie que tu redoutes le plus en constituant ton CV et c’est pourtant très simple ! Personne n’attend d’un jeune de 17 ans d’avoir déjà de nombreux stages à son actif. L’idée est de mettre en avant des petites expériences, qu’elles soient scolaires (un projet, un exposé, du tutorat, une mission de délégué…) ou non (un voyage, du sport en compétition, du baby-sitting, du bénévolat…). N’oublie pas de mentionner ton stage d’observation effectué en 3ème !

Comment partager ou distribuer ton CV ?

Une fois ton CV soigneusement élaboré, il est essentiel de le diffuser efficacement pour maximiser tes chances d’obtenir un stage ou un emploi étudiant. Commence par l’envoyer aux plateformes de recherche d’emploi telles qu’Indeed ou LinkedIn, où de nombreuses opportunités sont répertoriées. Parallèlement, n’hésite pas à partager ton CV avec tes professeurs, qui peuvent être informés d’opportunités locales pertinentes.

En ce qui concerne la recherche de petits jobs étudiants, adopte une approche proactive en déposant des exemplaires de ton CV dans des commerces locaux, des cafés, ou même en les distribuant à des contacts potentiels. La méthode traditionnelle du réseau local peut s’avérer très fructueuse.

Les médias sociaux sont également des outils puissants pour diffuser ton CV. Publie-le sur tes profils, et sollicite tes amis et ta famille pour qu’ils le partagent. Les opportunités peuvent souvent se présenter de manière inattendue, alors maximise ta visibilité en ligne.

En suivant ces étapes, tu augmenteras significativement tes chances de décrocher des opportunités professionnelles intéressantes.

Alors, prêt à créer ton CV ?

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5 bonnes résolutions pour la nouvelle année ! https://www.maxicours.com/se/5-bonnes-resolutions-pour-la-nouvelle-annee/ Wed, 27 Dec 2023 09:00:00 +0000 https://www.maxicours.com/se/?p=29446 Aujourd’hui, on vous partage nos 5 bonnes résolutions pour aider vos enfants à s’épanouir dans leur scolarité. Ce début d’année est l’occasion d’écrire une nouvelle page pour l’avenir de vos enfants. C’est le moment idéal pour faire le point, identifier avec eux leurs forces et leurs faiblesses et pour certains explorer des envies d’orientation pour...

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Aujourd’hui, on vous partage nos 5 bonnes résolutions pour aider vos enfants à s’épanouir dans leur scolarité.

Ce début d’année est l’occasion d’écrire une nouvelle page pour l’avenir de vos enfants. C’est le moment idéal pour faire le point, identifier avec eux leurs forces et leurs faiblesses et pour certains explorer des envies d’orientation pour leurs études ou de métiers. Chaque année, il nous est offert cette opportunité de prendre ou reprendre de bonnes habitudes, alors profitons-en. Que ce soit pour qu’ils s’investissent davantage à l’école ou pour qu’ils améliorent leurs méthodes de travail, il est utile d’établir des objectifs spécifiques. Alors prenons ensemble des nouvelles résolutions qui les guideront vers le succès !

Voici nos bonnes résolutions pour les parents afin d’aider leurs enfants dans leur scolarité :

Etablir une routine de travail

Si votre enfant n’en a jamais eu, c’est peut-être le moment. Si vous en avez déjà mise une en place, c’est peut-être aussi le moment de l’optimiser. Vous pouvez aider votre enfant à créer une routine quotidienne et hebdomadaire équilibrée qui inclut des périodes dédiées aux devoirs, et au temps libre. Une routine bien établie peut contribuer à améliorer la concentration et les performances scolaires.

Promouvoir l’organisation

Encouragez votre enfant à s’organiser :

  • Dans un premier temps, vis-à-vis de ses devoirs et contrôles. Pour les devoirs, vous pouvez lui suggérer d’en faire un peu chaque jour, de s’avancer sur les jours à venir pour ne pas se sentir dépassé, de relire ses cours du jour pour les garder en mémoire, etc. Pour les périodes d’examens, vous pouvez lui proposer de faire ensemble un planning de révisions sur les semaines qui précédent le jour J.
  • Dans un second temps, à travers une organisation physique et matérielle avec un espace de travail dédié et une préparation des affaires scolaires la veille de l’école par exemple.

N’hésitez pas à lui montrer les avantages que cela lui procurera pour le motiver à mettre ces bonnes pratiques en place :

  • Moins de stress,
  • Plus d’efficacité,
  • De meilleurs résultats scolaires,
  • Plus son dossier sera bon, plus il aura le choix pour ses études,
  • La gratification personnelle

La mise en place d’une routine bien organisée pour les devoirs et les révisions peut jouer un rôle essentiel dans leur réussite scolaire. En créant un environnement propice à l’apprentissage, vous pouvez aider vos enfants à développer de bonnes habitudes qui les accompagneront tout au long de leur vie.

Favoriser la communication avec les enseignants

La communication entre parents et enseignants est essentielle pour soutenir la réussite scolaire. Établissez une ligne de communication ouverte avec les enseignants de votre enfant. Participez aux réunions de parents, échangez des courriels ou organisez des rencontres régulières pour discuter de la progression, des réussites et/ou des difficultés que votre enfant peut rencontrer. Plus vous en saurez, plus il vous sera facile d’accompagner votre enfant.

Encourager la curiosité

La curiosité permettra à votre enfant d’avoir des connaissances plus larges et plus solides, aussi bien dans l’univers scolaire que personnel. Pour encourager sa curiosité, vous pouvez :

  • L’incitez à lire en dehors des devoirs, en lui proposant des livres différents : manga, livres policiers, BD, etc.
  • Lui proposer de visiter ensemble des musées, en choisissant des expositions atypiques qui peuvent lui plaire : ludiques, sur le street art, la musique, etc.
  • Regarder ensemble des reportages sur des sujets de société qui le concernent
  • L’inviter à un spectacle en fonction de ses goûts

L’ensemble de ces résolutions visent à créer un environnement favorable à l’apprentissage et à la réussite scolaire grâce à de bonnes habitudes et une attitude positive.
Alors, prêt pour cette nouvelle année ? 💪

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Passer du temps avec chaque enfant : mission impossible ? https://www.maxicours.com/se/passer-du-temps-avec-chaque-enfant-mission-impossible/ Wed, 20 Dec 2023 10:51:53 +0000 https://www.maxicours.com/se/?p=29335 Avoir plusieurs enfants est une véritable aventure qui apporte son lot de joies, de fatigue et d’organisation ! L’une des difficultés principales réside dans l’impression de ne pas réussir à accorder du temps privilégié à chaque enfant. Quelle que soit sa place dans la famille, un enfant a avant tout besoin de sentir qu’il est aimé...

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Avoir plusieurs enfants est une véritable aventure qui apporte son lot de joies, de fatigue et d’organisation ! L’une des difficultés principales réside dans l’impression de ne pas réussir à accorder du temps privilégié à chaque enfant. Quelle que soit sa place dans la famille, un enfant a avant tout besoin de sentir qu’il est aimé pour ce qu’il est, et qu’il est unique aux yeux de ses parents. Trois pistes pour relever ce défi !

3 minutes chaque soir

Entre le dîner, le bain, les devoirs et l’histoire du soir, la détente n’est pas toujours le mot d’ordre qui règne au moment du coucher ! Et pourtant, ne semble-t-il pas réaliste d’accorder 3 minutes, montre en main, à chaque enfant ? L’instituer comme une habitude permet de rassurer et de remplir le réservoir affectif tout en accordant un instant privilégié, volé dans la course du rythme trépidant de la semaine. Chaque enfant peut choisir la façon dont ces 3 minutes vont se passer, tant que l’activité est calme et s’effectue au pied du lit : l’un demandera un massage, l’autre une deuxième histoire, un autre une chanson, un plus grand en profitera pour raconter quelque chose de sa journée…  Si on a peur de manquer de temps, d’oublier ou de ne pas y arriver… tentons l’expérience pendant une semaine, il y a fort à parier que les enfants accrochent et réclament d’instaurer ces 3 minutes comme un rituel immanquable !

30 minutes pendant les vacances

Parce que les semaines passent à toute vitesse et n’offrent pas souvent le temps de souffler, profitons des vacances pour expérimenter la demi-heure offerte à chaque enfant. La clé réside dans le fait d’en parler en amont et de noter les créneaux sur le planning familial. Cela permet à chacun de se préparer :  je sais que papa / maman va passer 30 minutes seulement avec moi mais qu’à un autre moment des vacances, ce sera le tour de mon frère / ma sœur. Là encore, les enfants choisissent comment occuper cette demi-heure en tête à tête : faire un gâteau, construire un circuit de train, dessiner, apprendre un tour de magie… Ce temps accordé et pensé à l’avance devient un vrai moment de complicité qui renforce la confiance en soi et la confiance en l’autre !

1 repas par an

Dès qu’un enfant grandit, pourquoi ne pas instaurer la tradition, pour son anniversaire ou à un autre moment de l’année, de déjeuner ou dîner seuls avec lui ? Cela peut être une sortie au restaurant ou tout simplement un bon repas à la maison, dont il peut choisir le menu. C’est si rare d’avoir un repas calme, sans l’agitation habituelle d’une fratrie, et de pouvoir discuter tranquillement, si possible avec ses deux parents ! Cette habitude devient encore plus précieuse quand arrive l’adolescence et que les rapports deviennent parfois plus tendus ou gênés. Ce moment de qualité restera comme un repère et un ancrage dans la construction de sa personnalité et de ses choix.

Ces moments de qualité sont autant d’instants suspendus qu’il faut parfois arracher à la course du quotidien, mais qui deviennent plus faciles quand ils sont installés dans la routine familiale. Ils sont précieux pour combler le besoin d’attention de chaque enfant et renforcent en eux la certitude d’être aimé et d’avoir de la valeur, socle indispensable pour grandir en liberté !

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L’art des compliments : comment donner confiance en soi à son enfant ? https://www.maxicours.com/se/comment-donner-confiance-en-soi-a-son-enfant/ Fri, 15 Dec 2023 14:24:53 +0000 https://www.maxicours.com/se/?p=28335 Malgré tout l’amour qu’on porte à son enfant et la bienveillance avec laquelle on souhaite l’élever, les critiques et remarques négatives sont souvent plus nombreuses que les compliments. On a, en effet, tendance à voir ce qui ne va pas ou ce qu’il reste à faire. Et si l’on inversait la balance ? Comment complimenter avec justesse son enfant ? Comment l’encourager pour lui donner confiance en lui tout en lui donnant envie de progresser ?

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Malgré tout l’amour qu’on porte à son enfant et la bienveillance avec laquelle on souhaite l’élever, les critiques et remarques négatives sont souvent plus nombreuses que les compliments. On a, en effet, tendance à voir ce qui ne va pas ou ce qu’il reste à faire. Et si l’on inversait la balance ? Comment complimenter avec justesse son enfant ? Comment l’encourager pour lui donner confiance en lui tout en lui donnant envie de progresser ?

Le compliment descriptif

Le compliment descriptif consiste à remarquer les petits pas de l’enfant dans la bonne direction et à le lui dire de manière factuelle et précise. On ne se contente pas de féliciter mais on encourage en même temps. Quand un petit vient nous montrer son dessin et qu’on est tenté de s’exclamer « bravo c’est magnifique ! », on fait finalement une remarque un peu vague et qui peut sonner exagérée. On peut plutôt lui dire « Tu t’es appliqué à dessiner à l’intérieur des traits, bravo ! » ou « Tu as choisi des couleurs joyeuses, cela me plaît beaucoup ! ». Pour aider cette description, on peut interroger l’enfant : « Explique-moi ce que tu as voulu dessiner », « Comment as-tu fait cette construction de Lego ? ». Ainsi, on l’aide à prendre conscience de sa réalisation et on motive son envie de progresser sans dépendre uniquement du jugement d’un autre. Car pour gagner en estime de soi et en autonomie, l’enfant doit apprendre à avoir envie de réussir pour se dépasser, non pour chercher uniquement l’approbation parentale..

Mettre en avant le positif

Élever son enfant, au sens premier et noble, c’est chercher à le faire grandir ! Tout parent désire que son enfant progresse, s’améliore, développe qualités et vertus. Pour ça, il faut parfois aller contre la tendance naturelle à relever le négatif et, au contraire, souligner le positif. Par exemple, pour un enfant qui commence à écrire et ne soigne pas toujours ses mots, on aurait envie de lui faire remarquer les lettres mal tracées pour qu’il les corrige et s’améliore. En réalité, cela risque de le vexer et de le décourager. Allons plutôt complimenter les lettres soignées : « Regarde comme ton B est réussi, il monte jusqu’au bon interligne, ne dépasse pas en bas et a une jolie boucle ! ». De cette manière, on amène l’attention de l’enfant sur ce qu’il a réussi en on renforce sa confiance et son envie de progresser.

Souligner les qualités

En même temps qu’on décrit et qu’on souligne le positif, prenons l’habitude de remarquer les qualités de l’enfant. On peut avoir tendance à remarquer les défauts (« Tu as été méchant avec ton petit frère », « Ne sois pas paresseux ! »). Il est évidemment beaucoup plus motivant de se construire autour de qualités : « Tu as réussi à mettre tes chaussures tout seul, tu deviens de plus en plus autonome, bravo ! », « Tu trouvais ce problème de mathématiques difficile mais tu l’as fait jusqu’au bout, tu t’es montré persévérant je te félicite ! ». Cela peut aussi fonctionner pour les points d’amélioration de l’enfant : « C’est difficile d’arrêter son jeu pour aller prendre son bain, cela va te demander du courage ! », « Ce puzzle est long, il exige de la patience et de la concentration, je pense que tu peux y arriver ! ».

Plus de compliments que de critiques

Soyons honnête : combien de fois par jour trouvons-nous des critiques ou remarques négatives à adresser à son enfant ? Plusieurs, peut-être même une dizaine ! Et si on tentait l’expérience, pendant une semaine, de faire dix compliments ou remarques positives par jour à son enfant ? Cette pratique deviendra petit à petit une bonne habitude, qui aura un impact important sur l’atmosphère générale de la famille mais aussi sur les comportements particuliers qui demandent une amélioration. Par exemple, si le lever et la préparation du matin sont un problème récurrent, essayons de ne pas relever tout ce qui est trop lent ou peu efficace mais de souligner tous les petits efforts ou petits actes réussis. Au bout d’une semaine, le matin s’est-il amélioré ?

Entrainons-nous, comme parent, à ces compliments descriptifs et ces encouragements qui valorisent l’enfant tout en motivant en lui l’envie de progresser et de se dépasser !

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Comment aider votre enfant à s’orienter ? https://www.maxicours.com/se/comment-aider-votre-enfant-a-mieux-s-orienter/ Fri, 01 Dec 2023 09:49:00 +0000 https://www.maxicours.com/se/?p=28268 Une fiche pratique pour l’aider à mieux s‘orienter Vous savez combien faire un métier que l’on aime est épanouissant ! Et à l’inverse, vous mesurez combien faire un métier, sans passion et sans joie, peut être aliénant. Vous vous inquiétez peut-être aussi de l’avenir de votre enfant : aura-t-il la possibilité de choisir véritablement un...

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Une fiche pratique pour l’aider à mieux s‘orienter

Vous savez combien faire un métier que l’on aime est épanouissant ! Et à l’inverse, vous mesurez combien faire un métier, sans passion et sans joie, peut être aliénant. Vous vous inquiétez peut-être aussi de l’avenir de votre enfant : aura-t-il la possibilité de choisir véritablement un métier qui lui plaît ? C’est pourquoi, en tant que parent, vous aimeriez pouvoir le guider dans ses choix d’orientation.

Cette fiche pratique a pour objectif de vous donner des clés, principalement au niveau psychologique, pour aider votre enfant à s’orienter.

Un cas pratique pour résoudre les problèmes d’orientation scolaire

« Mon fils Amine est en 3e et il ne sait pas ce qu’il veut faire plus tard. Il a un niveau scolaire assez moyen. Je ne sens pas de motivation chez lui pour se préoccuper de son avenir scolaire et professionnel et ça m’inquiète. Comment puis-je faire pour qu’il s’intéresse à son futur ? »

Ali

Nos conseils pour l’aider à trouver son orientation scolaire

Encouragez votre enfant à mieux se connaitre

L’orientation se prépare en amont, à partir de qui l’on est et de ce que l’on aime. Plus votre enfant aura une bonne connaissance de lui-même, plus il sera à même de faire des choix d’orientation éclairés. Soyez attentif les premières années à ses envies de métiers. Elles évolueront, c’est certain, mais elles vous donneront une bonne idée de ce qui le motive en profondeur. Au fur et à mesure de sa scolarité, discutez avec lui de ce qu’il aime et de la façon dont il s’imagine plus tard. Encouragez-le à découvrir ses talents et à imaginer son « projet de vie ». La question « Qu’est-ce qui t’apporte le plus de joie dans la vie ? » est très utile pour lui apprendre à se connaître davantage. Vous pouvez aussi lui demander « Qu’est-ce que tu aimes dans telle activité ? »

Habituez-le à être acteur de sa vie

Impliquez-le tôt dans les décisions qui le concernent (tout en conservant bien sûr votre rôle de parent décisionnaire). Par exemple, lorsque vous avez rendez-vous avec un professeur, venez accompagné de votre enfant et proposez-lui de donner son avis. De cette façon, il prendra l’habitude d’être acteur dans les décisions qui concernent sa vie. Ainsi, au moment des choix stratégiques d’orientation en 3e, en seconde, puis en terminale, il s’impliquera naturellement.

Si votre enfant se retrouve dans une filière qu’il n’a pas choisie, rappelez-lui que rien n’est définitif et qu’il peut à tout moment évoluer et se réorienter, à condition de s’en donner les moyens. Il est d’ailleurs de plus en plus rare de construire sa vie professionnelle sur un seul et unique métier.

Donnez du sens à sa scolarité

Rappelez-lui que sa scolarité est là pour l’aider plus tard à concrétiser son projet de vie. Certains contenus scolaires peuvent parfois paraître abstraits et coupés du quotidien. Plus vous donnerez du sens aux apprentissages et à la scolarité de votre enfant, plus vous l’aiderez à y trouver une motivation.

Encouragez votre enfant à mieux se connaître

L’orientation se prépare en amont, à partir de qui l’on est et de ce que l’on aime. Plus votre enfant aura une bonne connaissance de lui-même, plus il sera à même de faire des choix d’orientation éclairés. Soyez attentif les premières années à ses envies de métiers. Elles évolueront, c’est certain, mais elles vous donneront une bonne idée de ce qui le motive en profondeur. Au fur et à mesure de sa scolarité, discutez avec lui de ce qu’il aime et de la façon dont il s’imagine plus tard. Encouragez-le à découvrir ses talents et à imaginer son « projet de vie ». La question « Qu’est-ce qui t’apporte le plus de joie dans la vie ? » est très utile pour lui apprendre à se connaître davantage. Vous pouvez aussi lui demander « Qu’est-ce que tu aimes dans telle activité ? »

Orientez votre regard sur ses capacités et non sur ses déficiences

Chaque enfant, chaque jeune dispose d’un potentiel important et souvent ignoré. Pour permettre à votre enfant de gagner confiance en lui et de développer ce potentiel, il vaut mieux l’aider à prendre conscience de ses ressources existantes, que d’attirer sans cesse son attention sur ce qui ne va pas. Par exemple, au lieu de lui dire « De toute façon, tu n’es pas au niveau dans cette matière pour faire ce métier plus tard ! », vous pouvez lui dire : « Si tu as réellement envie de faire ce métier plus tard, il va te falloir progresser rapidement dans cette matière. En as-tu envie ? Quels sont les moyens que tu te donnes ? » Il est toujours préférable de permettre à l’enfant de s’identifier à son potentiel (ses capacités, ses qualités) plutôt qu’à ses manquements. S’il se considère comme « capable », il aura beaucoup plus de facilités à réaliser son projet de vie, que s’il se considère comme « nul ». Il ne s’agit pas bien sûr d’ignorer les difficultés réelles de votre enfant, mais plutôt de l’aider à les dépasser. S’il souhaite être médecin et qu’il rencontre de grosses difficultés en sciences, il va falloir y remédier (et ce sera plus facile à faire s’il a confiance en ses capacités) ou bien revoir avec lui son orientation.

Donnez-lui quelques exemples inspirants

Vous connaissez l’adage : « Quand on veut, on peut ». C’est un message positif que vous pouvez relayer auprès de votre enfant, en lui montrant bien sûr, que ceci implique des efforts certains et une motivation sans faille. Prenez, par exemple, le parcours de Steven Spielberg. Il est passionné de cinéma dès son plus jeune âge et réalise des petits films avec la caméra Super-8 de son père. Il se voit malgré tout refuser l’entrée de toutes les grandes écoles de cinéma, mais qu’à cela ne tienne ! Il s’inscrit à l’université de Californie, y étudie l’anglais et en profite pour se forger une solide culture cinématographique. Plus tard, il n’hésitera pas à s’ouvrir, de lui-même, les portes des studios d’Hollywood en occupant une petite caravane et en y inscrivant « Steven Spielberg, réalisateur »… prémonitoire, n’est-ce pas ? Si vous connaissez autour de vous des gens passionnés par leur métier, faites-les rencontrer à votre enfant. Même si leur métier n’intéresse pas directement celui-ci, elles sauront transmettre leur passion.

Proposez-lui du concret

Si vous exercez un métier, parlez-en à votre enfant. Expliquez-lui ce que vous faites et amenez-le (si vous le pouvez) sur votre lieu de travail. Si vous travaillez en entreprise, expliquez-lui ce que vous savez du fonctionnement d’une entreprise, car souvent cette notion reste très abstraite pour les enfants et les jeunes… et pourtant, c’est le lieu où s’exerce un maximum de métiers ! Attention cependant à ne pas l’entraîner, malgré vous, dans votre voie.

Si votre enfant ou votre adolescent a déjà une envie de métier, faites-lui rencontrer des personnes du milieu, si possible sur leur lieu de travail. Si, par exemple, votre fille veut être vétérinaire, proposez-lui de tirer pleinement profit de son stage de 3e et suggérez-lui d’appeler la clinique vétérinaire du coin pour faire sa demande de stage.

Si votre enfant n’a pas d’idée précise, proposez-lui d’aller dans des salons d’orientation ou bien de prendre rendez-vous avec un conseiller d’orientation.

Développez son « repère intérieur »

Nous sommes hélas plus habitués à fonctionner selon un « repère extérieur » plutôt qu’un « repère intérieur ». Autrement dit, nous comptons davantage sur notre environnement extérieur pour nous déterminer et pour prendre une décision, que sur nous-mêmes. Un élève qui fonctionne selon un « repère extérieur » sera dépendant de ses parents, de ses professeurs, de ses copains pour prendre des décisions. C’est le cas de l’élève qui travaille pour faire plaisir à ses parents ou ses enseignants. Il a « donné son pouvoir » à l’extérieur et ne connaît pas ses envies profondes. Il fera donc des études et choisira son orientation en fonction de ce que son environnement attend de lui. Or il s’agit bien de sa vie, pas de celle de ses parents ou de ses enseignants !


Il est donc primordial pour une orientation réussie et épanouissante, de permettre à votre enfant de développer un « repère intérieur ». Il est bien sûr plus facile de développer un bon « repère intérieur » quand on a une bonne image de soi, quand on est conscient de ses capacités et de ses qualités. En cela, la valorisation est un bon moyen d’aider votre enfant à développer un « repère intérieur ». Vous pouvez également l’encourager à être le plus souvent possible au contact de son ressenti : « que ressens-tu au fond de toi ? » et à s’y fier. Cela lui évitera d’être trop influençable et de toujours se conformer à ce que les autres attendent de lui, sans discernement.


Notre réponse au cas pratique pour l’aider dans son orientation scolaire


Ali a pris le temps de discuter d’avenir avec son fils Amine. Il lui a demandé de passer du temps à réfléchir à ce qui lui plaisait le plus dans la vie :

« Qu’est-ce qui t’apporte le plus de joie dans tes activités ? »,

« Si tout était possible, qu’aimerais-tu faire plus tard ? Pourquoi ? »,

« Te souviens-tu de ce que tu voulais faire quand tu étais petit ? », etc.

Amine est d’abord resté sans idées. Ali est donc revenu vers lui et l’a encouragé au cours de cette deuxième discussion.

Les envies d’Amine se sont majoritairement orientées autour du surf… Une première piste ! Ali lui a donc proposé d’explorer tous les métiers liés au surf, en surfant avec lui… sur Internet : conception, design, fabrication de planches, de vêtements, métiers du tourisme, etc. Ali a ensuite encouragé Amine à se trouver un stage de 3e dans le milieu. Il l’a mis en contact avec une amie qui travaille dans la conception de vêtements de sport. Amine a pu la rencontrer sur son lieu de travail. Il se peut que cette passion ne soit que passagère, mais elle aura permis à Amine de découvrir le monde de l’entreprise et de voir qu’on pouvait concilier une passion sportive avec un métier.

Surtout, depuis qu’il y a été encouragé par Ali, Amine prend davantage son avenir en main !

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Comment sensibiliser ses enfants à la protection de l’environnement ? https://www.maxicours.com/se/comment-sensibiliser-ses-enfants-a-la-protection-de-lenvironnement/ Mon, 27 Nov 2023 07:30:00 +0000 https://www.maxicours.com/se/?p=6981 Voici plusieurs conseils pour sensibiliser vos enfants à la protection de l'environnement. Il est crucial que les enfants accordent de l'importance à l'environnement et s'en préoccupent.

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Voici plusieurs conseils pour sensibiliser vos enfants à la protection de l’environnement. Il est crucial que les enfants accordent de l’importance à l’environnement et s’en préoccupent.

Voici quelques conseils à adopter au quotidien :

1. Privilégier le vélo ou la marche pour vos petits déplacements

Si vous habitez à proximité de l’école, évitez de prendre la voiture et montrez le bon exemple à vos enfants. Ils seront ravis de pouvoir faire du vélo ou de la trottinette, les enfants sont pleins d’énergie ! C’est un bon moyen de joindre l’utile à l’agréable en leur faisant comprendre que, de cette façon, ils contribuent à la protection de la planète.

2. Expliquer le principe du tri sélectif

Pour les sensibiliser le plus tôt possible à la protection de l’environnement, il est primordial d’expliquer à vos enfants l’importance du tri sélectif. Vous pouvez leur expliquer les catégories de tri et rendre cela ludique avec des devinettes ou en personnalisant les bacs à déchets. Ces actions permettront d’engager vos enfants dans cette démarche responsable. Pensez ensuite à les féliciter pour prouver l’importance de leurs actes.

3. Faire des DIY avec des objets de récupération

Donnez une nouvelle vie à vos objets en les transformant pour une autre utilisation.
Les DIY ont le vent en poupe, vous trouverez de nombreuses idées sur Internet. Vos enfants ne diront pas non pour mettre la main à la pâte !

4. Leur apprendre les bonnes habitudes

Dans votre quotidien, il y a de nombreuses façons de sensibiliser vos enfants pour la protection de la planète. Pour commencer c’est à vous de montrer les bonnes habitudes, comme éteindre les lumières quand elles ne sont pas nécessaires, ne pas faire couler l’eau sans raison en privilégiant la douche au bain, ne pas jeter d’objets par terre, etc. Ce sont de petites habitudes qui sur le long terme font beaucoup pour l’environnement. Si vous avez la possibilité de rendre ces actions ludiques avec des dessins, des mots sur des post-it pour créer des pense-bêtes, cela rend la tâche plus amusante pour eux.

5. Consommer mieux

Côté alimentation, vous pouvez créer avec vos enfants des fiches des fruits et légumes de saison et les afficher sur le réfrigérateur pour la saison en cours. Privilégiez également les producteurs locaux, d’autant plus durant cette période pour soutenir leur travail, ou des produits issus de l’agriculture biologique.
Pour les jouets et équipements de vos enfants, n’hésitez pas à choisir la seconde main, c’est une nouvelle façon de consommer sans acheter du neuf et en plus, c’est moins cher !

6. Découvrir la nature

Vous pouvez profiter des moments en famille pour aller découvrir la nature, la faune et la flore. C’est l’occasion de développer leurs connaissances et leur curiosité à travers des activités en plein air. Les herbiers sont un très bon moyen de faire connaître les variétés d’arbres et de plantes à vos enfants. Vous pourrez le compléter lors de prochaines balades et le conserver autant de temps que vous le souhaitez.
Si vous en avez la possibilité, pensez à cultiver dans votre jardin des fruits et des légumes aimés de vos enfants ! C’est une super idée pour faire des ateliers de jardinage et leur expliquer le développement des plantes. Il n’y a pas de meilleur moyen pour les rendre fiers d’eux !

Alors convaincu ?

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Comment apprendre à votre enfant à réagir face aux moqueries et au harcèlement scolaire ? https://www.maxicours.com/se/comment-apprendre-a-votre-enfant-a-reagir-face-aux-moqueries-et-au-harcelement-scolaire/ Mon, 06 Nov 2023 14:37:44 +0000 https://www.maxicours.com/se/?p=28257 Une fiche pratique pour l’aider à réagir aux moqueries et au harcèlement scolaire Vous savez que le climat à l’école, au collège ou au lycée n’est pas toujours des plus positifs. Au cours de sa scolarité, il n’est pas impossible que votre enfant ait à faire face à des moqueries, du harcèlement scolaire, du racket...

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Une fiche pratique pour l’aider à réagir aux moqueries et au harcèlement scolaire

Vous savez que le climat à l’école, au collège ou au lycée n’est pas toujours des plus positifs. Au cours de sa scolarité, il n’est pas impossible que votre enfant ait à faire face à des moqueries, du harcèlement scolaire, du racket ou de la violence. Vous aimeriez le préparer au mieux à ce genre de situations, afin qu’il sache les gérer avec affirmation et justesse.

Il se peut aussi que votre enfant ou votre adolescent soit souvent rabroué et chahuté à l’école par d’autres élèves. Vous aimeriez le conseiller, mais vous ne savez pas trop quoi lui dire : ignorer les moqueries ? taper en retour ? vous plaindre à la direction ?

L’objectif de cette fiche pratique est de vous donner des clés, pour lui apprendre à s’affirmer face à ces situations inacceptables.

Un cas pratique pour l’aider à réagir aux moqueries

« Ma fille, Lucie, est victime de la méchanceté de certains camarades de classe, au point qu’elle n’a plus très envie d’aller au collège. Le dimanche soir, c’est l’angoisse à l’idée d’y retourner. Je lui ai d’abord conseillé d’ignorer tout cela et de prendre ses camarades de haut, mais ça ne marche pas. Je ne sais plus quoi lui dire pour qu’elle fasse cesser cela. »

François

Nos conseils pour l’aider à réagir au harcèlement scolaire

Soyez un repère pour votre enfant

Ne laissez pas une situation inacceptable (harcèlement, violence…) s’installer. Tolérer la violence, c’est la cautionner. Il est donc primordial que vous preniez position en tant qu’adulte-repère.

Prenez connaissance des faits et ne les amoindrissez pas. Par exemple, évitez de dire : « C’est comme ça. C’est la vie… ». Dites : « Leur comportement est inacceptable ». Le fait que vous preniez position pour votre enfant ou votre adolescent le conforte dans le fait qu’il vit une situation intolérable.

Renforcez sa confiance en lui

Un enfant qui est chahuté à l’école est souvent un enfant qui a une mauvaise image de lui-même. Il est donc important de l’aider à s’aimer davantage. Vous pouvez lui dire : « Quelles que soient les moqueries de tes camarades, moi je sais qu’elles ne sont pas vraies. Et toi, que ressens-tu ? »

Aidez-le à sortir de sa position de victime

Développez sa capacité à dire NON à la violence. Pour cela, dites-lui bien qu’il ne mérite certainement pas d’être moqué et chahuté et qu’il a le droit au RESPECT. Renforcez-le dans la valeur qu’il a de lui-même. Dites par exemple :

« Tu ne mérites pas ça. Personne n’a le droit de te manquer de respect », « Tu as beaucoup de valeur pour nous, tu le sais ? »

Expliquez-lui la différence entre l’affirmation et la réaction

Nous sommes hélas plus habitués à « ré-agir » (agir contre) qu’à nous affirmer. L’agressivité (se moquer, taper en retour…) est un exemple de réaction qui n’aboutit en général qu’à une escalade de la violence. Subir sans rien dire n’est pas non plus une réaction appropriée, car elle est basée sur le non-respect de soi-même.

Toute réaction (agressivité, fuite, évitement…) est basée en profondeur sur une émotion négative. À l’inverse, l’affirmation est basée sur le respect de soi. S’affirmer, c’est dire STOP à une situation injuste et inacceptable, avec fermeté, sans énervement ni débordement émotionnel.

Intervenez si vous mesurez que la situation n’est pas gérable par votre enfant seul

Essayez de prendre la mesure de la situation et s’il vous paraît approprié d’intervenir (difficulté de votre enfant face au nombre de camarades, violences inacceptables, racket…), demandez un rendez-vous avec l’enseignant et/ou la direction. Il est important que votre enfant/adolescent vous accompagne à ce rendez-vous pour plusieurs raisons :

  • parce qu’il est au cœur du sujet (ce sera d’ailleurs à lui d’exposer la situation),
  • parce que le fait de vous voir prendre position pour lui dans cette situation face à l’autorité de l’établissement va renforcer son estime de soi et son respect de lui-même.

Étapes

1. Prenez connaissance de la situation de la façon la plus factuelle possible

Il est important pour votre enfant d’en parler. S’il ne partage pas spontanément la situation avec vous, allez vers lui et amorcez la discussion. Posez des questions : « Que s’est-il passé ? », « Comment as-tu réagi à la situation jusqu’alors ?»

Faites reformuler par votre enfant ses éventuels jugements de valeur en observations. Par exemple : « Ils s’attaquent toujours à moi, c’est toujours moi qui en prends plein la figure ! » devient « À chaque sortie de cours, ils se moquent de moi et parfois ils me bousculent ».

2. Explorez les solutions ensemble

Trouvez ensemble une solution, qui soit respectueuse de votre enfant et de ses camarades. Faites reformuler. Précisez le lieu, le moment, la façon de dire. Valorisez la solution trouvée.

3. Faites un suivi de la situation

Assurez-vous que votre enfant gère bien la situation et que celle-ci se résout.

Notre réponse au cas pratique pour l’aider à mieux réagir aux moqueries et au harcèlement scolaire

Lucie rentre du collège accablée. Son père, François, devine à son air qu’elle a encore été « victime de la méchanceté de certains camarades de classe ». Il est décidé à l’aider.

François : Lucie, j’aimerais te parler. As-tu un peu de temps maintenant ?

Lucie : Oui.

François : Je sais que tu vis des moments difficiles au collège et il me semble important qu’on en parle.

Lucie : Si tu veux. (Elle souffle.)

François : Tu m’as dit plusieurs fois que tu en avais marre du collège, parce que certains élèves se moquaient de toi. C’est bien ça ?

Lucie : Oui. Ils s’en prennent tous à moi, alors que je ne leur ai rien fait (jugement de valeur) !

François : Que se passe-t-il exactement et que disent-ils (recherche factuelle) ?

Lucie : Ils disent tous que je suis moche, que je suis trop grosse, que je ressemble à une grosse vache. (Les larmes montent.)

François : Ils disent tous ça ?

Lucie : Euh non, les filles surtout.

François : Quelles filles ?

Lucie : Le groupe des quatre.

François : Qu’est-ce que ça te fait quand elles te disent ça ?

Lucie : J’ai envie de les étrangler (réaction), mais comme elles sont quatre, je m’écrase.

François : Mais au fond de toi, qu’est-ce que tu ressens quand elles te disent ça ?

Lucie : Ben… ça me fait mal.

François : Parce que tu crois ce qu’elles disent ?

Lucie : Ben, c’est vrai que je suis un peu grosse.

François : Et alors ? Est-ce que ça leur donne le droit de te traiter comme elles le font ? Leur comportement est inacceptable. Crois-moi, ma fille n’est pas une grosse vache ! Tu es très bien comme ça et moi je t’aime comme ça (valorisation).

Lucie : Merci.

François : C’est vraiment important que tu t’affirmes, tu ne mérites pas que le « groupe des quatre » dise ça de toi !

Lucie : Oui, j’ai envie de leur dire qu’elles sont nulles (réaction) !

François : C’est vrai tu pourrais dire ça, mais ça risque de ne pas arranger les choses…qu’en penses-tu ?

Lucie : Tu as raison, ça les énerverait encore plus. Donc, je fais bien de ne rien dire (fuite)…

François : Non, c’est important que tu leur signifies que tu ne veux plus entendre de remarques de ce genre ! Est-ce que tu es prête à leur dire ?

Lucie : Oui, mais elles vont me répondre et se moquer encore plus de moi.

François : Peut-être, mais ce n’est pas une raison pour les laisser dire. Tu mérites d’être respectée, n’est-ce pas ?

Lucie : Oui, tu as raison. Je vais leur dire.

François : Comment vas-tu leur dire ?

Lucie : Je vais leur dire : « Je ne vous permets pas de m’appeler « grosse vache » et je ne suis pas une grosse vache ! » (affirmation).

François : Super ! Redis-le encore. (François sent que Lucie est encore hésitante et qu’elle n’a pas l’habitude de s’affirmer.)

Lucie (avec plus de conviction) : « Je ne vous permets pas de m’appeler « grosse vache » et je vous demande d’arrêter immédiatement ! »

François : Encore mieux ! Je pense qu’elles vont t’entendre, surtout si tu y mets cette énergie-là.

François : Quand vas-tu leur dire ?

Lucie : Dès demain.

François : Je suis fier de toi, Lucie ! Et content que nous ayons trouvé une solution à ce problème. Si tu as besoin d’aide, je suis là. Tu me diras comment ça s’est passé (suivi) ?

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5 activités calmes et créatives pour une journée pluvieuse https://www.maxicours.com/se/5-activites-calmes-et-creatives-pour-une-journee-pluvieuse/ Mon, 23 Oct 2023 12:29:09 +0000 https://www.maxicours.com/se/?p=28874 Le temps est maussade, vous avez un ou plusieurs enfant(s) à occuper et n’avez pas d’idées ni de matériel spécifique ? Voici 5 activités simples mais originales, pour partager un moment calme et créatif ! Le bestiaire imaginaire Inventer des animaux en mélangeant plusieurs animaux : par exemple une bête avec une tête de lapin, un corps de...

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Le temps est maussade, vous avez un ou plusieurs enfant(s) à occuper et n’avez pas d’idées ni de matériel spécifique ? Voici 5 activités simples mais originales, pour partager un moment calme et créatif !

Le bestiaire imaginaire

Inventer des animaux en mélangeant plusieurs animaux : par exemple une bête avec une tête de lapin, un corps de requin et une queue de cochon ! On s’amuse à le dessiner, lui donner un nom et pourquoi pas inventer un récit dont il sera le héros ! Avec un enfant trop jeune pour dessiner seul, on peut le laisser choisir les parties du corps et dessiner selon ses consignes.

La chasse aux couleurs

Lancer un défi : aller chercher dans la maison 3 objets bleus, 3 objets jaunes, 3 objets rouges etc. Avec plusieurs enfants, on peut en faire une course. Quand les objets sont rassemblés, on en profite pour les trier et faire un joli nuancier chromatique. Avec des plus grands, on explore les nuances et leurs noms, en cherchant les objets les plus proches possibles de la teinte demandée (bleu roi, bleu canard, bleu ciel etc).

Les sens dans tous les sens

Le travail des 5 sens est une activité ludique et pédagogique parfaite dès le plus jeune âge. Pour la vue, on peut faire deviner à l’autre quelque chose que l’on voit dans la pièce en répondant par oui/non à ses questions (est-ce noir ? est-ce carré ? etc). Pour l’ouïe, on s’installe les yeux fermés, en silence et on essaye d’identifier 3 sons ou bruits et de les qualifier (doux, étouffé, grinçant etc). Pour l’odorat, on renifle des épices dans la cuisine et on tente de les reconnaître et nommer. Pour le goût, on fait de même, yeux fermés, avec un petit aliment à goûter et identifier. Pour le toucher, enfin, on cache des petits objets dans un panier ou un sac, on glisse la main dedans sans regarder et on doit donner le nom de l’objet simplement par sa forme et matière.

Le récit collaboratif

Il y a plusieurs façons de jouer à ce que les surréalistes appelaient le « cadavre exquis », en souvenir de la première phrase créée par ce processus : le premier écrit un sujet, le second un verbe, le troisième un complément, en cachant à chaque fois le mot précédent pour ne pas se laisser influencer et débrider son imagination. Le résultat, mettant à la suite les idées de chacun et créant ainsi des phrases loufoques, promet beaucoup de rire ! Pour guider les enfants, on peut décider du squelette de la phrase, par exemple « pour ….. (verbe) un(e) …. (nom) ……. (adjectif), il faut …. (verbe) ».

Le royaume fantastique

Et si on créait notre propre royaume ? Sortir une grande feuille blanche et verser du riz dessus de manière aléatoire. Avec un feutre noir, tracer les contours des groupes de riz, y compris les grains isolés, qui formeront les terres, les frontières, les îles. Enlever le riz et décorer la carte. Pour lui donner un aspect vieilli de parchemin, l’humidifier avec un sachet de thé mouillé puis faire sécher. Inventer et écrire des noms d’océans, de terres, de peuples et d’îles, de royaumes ennemis, dessiner des lieux de combats, des routes etc. Et c’est parti pour des heures d’imagination et de jeu !

Alors, prêts pour la prochaine journée de pluie à la maison ?

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3 conseils pour éviter la course du matin https://www.maxicours.com/se/3-conseils-pour-eviter-la-course-du-matin/ Thu, 28 Sep 2023 09:08:33 +0000 https://www.maxicours.com/se/?p=28489 « Dépêche-toi ! », « Tu as fini ton bol ? », « Vite, prends ton manteau et ton cartable ! », « On va être en retard ! » Ces petites phrases vous parlent ? On rêverait de les faire disparaitre, de commencer la journée sereinement et on s’en veut de transmettre à nos...

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« Dépêche-toi ! », « Tu as fini ton bol ? », « Vite, prends ton manteau et ton cartable ! », « On va être en retard ! » Ces petites phrases vous parlent ? On rêverait de les faire disparaitre, de commencer la journée sereinement et on s’en veut de transmettre à nos enfants, dès le matin, notre stress d’adulte… Alors comment faire pour échapper à cette course du matin en famille ? Quelques pistes concrètes et simples !

Communiquer

Un enfant en bas âge a du mal à appréhender ce marathon du matin, à savoir combien de temps il lui reste, ce qu’on attend de lui etc. Il faut donc discuter régulièrement.

  • Donner peu de consignes mais très claires et une consigne à la fois (avant 6 ans, on oublie les ordres à rallonge comme « quand tu as fini ton petit-déjeuner, va te brosser les dents et mets tes chaussures ! »)
  • Si certaines étapes présentent des difficultés qui deviennent des sources de tension, les transformer en moment ludique, drôle ou apaisant (chronomètre pour le brossage de dents, course à deux pour s’habiller, musique pendant le petit-déjeuner…)
  • Ne pas hésiter à en discuter en famille, le soir, pour exprimer les difficultés de ce moment et inviter chacun à proposer des solutions et astuces.

Ritualiser

Les enfants ont besoin de cadre et de repères clairs. Tout sera plus facile pour eux si chaque matin de la semaine se déroule de la même manière.

  • Définir l’heure à laquelle il faut claquer la porte pour partir et faire un rétroplanning pour estimer le temps nécessaire à chaque étape. En moyenne, pour un enfant, il faut autour de 45 minutes entre le réveil et le départ, parfois plus, rarement moins.
  • Fabriquer une fiche de routine du matin pour visualiser chaque étape restante (s’habiller, prendre son petit-déjeuner, se brosser les dents, enfiler son manteau…) Ces fiches peuvent être accompagnées de petits dessins clairs ou, encore mieux pour que l’enfant s’implique et en retire de la fierté, de photos de lui en train de réaliser chaque mission !
  • Utiliser une horloge ou un sablier pour visualiser très concrètement le temps nécessaire et le temps restant mais aussi pour faciliter l’autonomie (« ce n’est pas maman qui me répète pour la 3ème fois d’aller mettre mes chaussures, c’est moi qui le vois sur le sablier ! »)

Anticiper

Pour gagner du temps le matin, un mot d’ordre à retenir : tout ce qui peut être fait la veille… doit être fait la veille !

  • Préparer les habits avec l’enfant en se couchant : s’il s’implique dans le choix de ses vêtements, en fonction de la météo, du programme de la journée et de ses goûts, pas de risque de négociation ou de perte de temps dès le lever !
  • Installer la table du petit-déjeuner après le dîner : poser les bols, les verres, les céréales… Et là encore, plus l’enfant s’investit et rend service, plus il intégrera ces routines rassurantes.
  • Aligner les cartables, chaussures, manteaux et cie dans l’entrée pour ne rien oublier. Chaque chose doit avoir une place, toujours la même et connue de tous, pour éviter de chercher au dernier moment les clés ou le sac de sport !

Enfin, pas d’écran le matin, entre le lever et le départ pour l’école. Cette solution pourrait sembler pratique et dépanner parfois mais c’est une fausse bonne idée car les écrans vont en réalité stimuler, divertir et énerver l’enfant. Tout ce qu’on veut éviter pour des matins sereins !

Et n’oubliez pas, si la course persiste, c’est que tout le monde doit se lever un peu plus tôt et donc… se coucher un peu plus tôt ! Le rythme de la semaine est intense mais les besoins de sommeil des enfants sont fondamentaux (10h-11 au primaire et 9h minimum au collège) !

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Comment aider mon enfant à avoir confiance en lui ? https://www.maxicours.com/se/comment-aider-mon-enfant-a-avoir-confiance-en-lui/ Wed, 16 Aug 2023 14:31:03 +0000 https://www.maxicours.com/se/?p=27855 Une fiche pratique pour l’aider à prendre confiance. Avoir confiance en soi contribue indéniablement à la réussite et au bien-être de votre enfant. Dans ce cas, comment faire en sorte que celui-ci développe une bonne confiance en lui-même et en ses capacités ? Il se peut que votre enfant manque de confiance en lui :...

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Une fiche pratique pour l’aider à prendre confiance.

Avoir confiance en soi contribue indéniablement à la réussite et au bien-être de votre enfant. Dans ce cas, comment faire en sorte que celui-ci développe une bonne confiance en lui-même et en ses capacités ? Il se peut que votre enfant manque de confiance en lui : il perd peut-être ses moyens dans certaines situations (devoirs sur table, examens…), ou bien il se dévalorise souvent, ou encore il manque d’affirmation personnelle (se laisse chahuter par d’autres élèves), etc. Vous aimeriez l’aider, car vous savez qu’avec plus de confiance en lui, il pourrait davantage exprimer son potentiel. L’objectif de cette fiche pratique est de vous donner des clés pour aider votre enfant/votre adolescent à prendre davantage confiance en lui-même.

Un cas pratique pour résoudre les problèmes liés à la confiance en soi

« Ma fille, Sarah, manque de confiance en elle. En classe, l’enseignante me dit qu’elle est effacée, qu’elle ne prend jamais la parole, à moins d’être interrogée, et que dans ce cas, elle bredouille. À la maison, quand elle commence quelque chose, elle abandonne souvent en cours de route, en disant qu’elle n’y arrive pas ou qu’elle est nulle. »

Samia

Nos conseils pour l’aider à avoir confiance en lui

Orientez votre regard sur ses capacités et non ses déficiences

Pour permettre à votre enfant de gagner en confiance en lui et de progresser, il vaut mieux l’aider à prendre conscience de ses ressources existantes et de son potentiel, que d’attirer sans cesse son attention sur ce qui ne va pas. Par exemple, au lieu de lui dire « De toute façon, tu as toujours été stressé par les examens », vous pouvez lui dire : « Je me rends compte que ce n’est pas facile pour toi, mais je t’ai vu réussir dans des situations difficiles, tu peux tout à fait y arriver ! »

Evitez les jugements de valeur, formulez des observations

Un jugement de valeur est une condamnation, qui renforce l’enfant dans une mauvaise image de lui-même. « Tu es nul en maths » est un jugement de valeur, une condamnation sans appel. Quand un enfant entend « tu es nul en maths », il ne se voit offrir aucune possibilité d’évolution. Il se trouve renforcé dans une mauvaise image de lui-même, où il est dans l’impossibilité totale de progresser en maths. Si par contre, vous lui dites « pour le moment, tu rencontres des difficultés importantes en maths, mais tu peux progresser », vous faites un constat clair de la situation, mais vous n’atteignez pas votre enfant dans son identité. Vous lui laissez au contraire la possibilité d’évoluer et de progresser. Le jugement de valeur atteint l’identité de l’enfant. Il est toujours préférable de permettre à l’enfant de s’identifier à son potentiel (ses capacités, ses qualités) plutôt qu’à ses manquements.

Valorisez-le

Lorsque vous reconnaissez ouvertement les qualités de votre enfant, lorsque vous valorisez ses réussites, vous lui permettez de développer une meilleure image de lui-même. C’est essentiel : un enfant qui se sent reconnu, qui a conscience de ses capacités, sera plus à l’aise dans la vie de façon générale. Face aux difficultés, il aura davantage confiance en lui.

N’hésitez donc pas à valoriser régulièrement votre enfant et à reconnaître ses qualités personnelles. Quelques exemples de valorisation : « Bravo, c’est vraiment bien que tu aies réussi ! », « Je suis admiratif de ta patience », « Tu es vraiment très débrouillard », « Bravo pour cette initiative », etc.

En cas de difficultés scolaires, pour rétablir la confiance en soi de votre enfant, guidez-le vers les exercices les plus faciles pour lui en premier. Il va les réussir. Valorisez-le fortement, cela le mettra en confiance pour les exercices qu’il considère comme difficiles.

Développez son « repère intérieur »

Nous sommes hélas plus habitués à fonctionner selon un « repère extérieur » plutôt qu’un « repère intérieur ». Autrement dit, nous comptons plus souvent sur notre environnement extérieur pour déterminer notre valeur personnelle, que sur nous-mêmes.

Un élève qui fonctionne selon un « repère extérieur » attendra de ses parents, de ses enseignants, de ses notes, de ses copains, de la mode, etc. qu’ils déterminent sa valeur. Si son environnement lui renvoie une image positive, il se sentira bien. Si son environnement lui renvoie une image négative, il se sentira mal. L’inconvénient de cette posture, c’est que quand l’environnement change radicalement, la personne est totalement déstabilisée, car elle a « donné son pouvoir » à l’extérieur.

À l’inverse, un élève qui fonctionne selon un « repère intérieur » sera conscient de sa propre valeur quel que soit l’environnement. Il sera donc plus stable, plus solide, plus confiant. Il est bien sûr plus facile de développer un bon « repère intérieur » quand on a une bonne image de soi, quand on est conscient de ses capacités et de ses qualités. En cela, la valorisation est un bon moyen d’aider votre enfant à développer un repère intérieur.

Vous pouvez également l’encourager à être le plus souvent possible au contact de son ressenti : « que ressens-tu au fond de toi ? » et à s’y fier. Cela lui évitera d’être trop influençable et de toujours se conformer à ce que les autres attendent de lui, sans discernement.

Enfin, évitez au maximum la comparaison qui renforce le « repère extérieur ». À propos des notes, par exemple, évitez le fameux : « Tu as eu combien ? Et les autres ? ».

Notre réponse au cas pratique pour l’aider à avoir confiance en lui

Samia a aidé Sarah à reprendre confiance en elle. Elle s’est d’abord rendu compte que Sarah avait une mauvaise image d’elle-même et elle a réalisé qu’en tant que mère, elle ne la valorisait pas souvent.

Elle a commencé par éviter les jugements de valeur, du type, « tu n’es pas très débrouillarde » ou bien les comparaisons « ton frère se débrouille mieux que toi ».

Elle a ensuite valorisé les qualités qu’elle percevait chez Sarah et les réussites qu’elle obtenait. Au fur et à mesure, Sarah a pris conscience de ses capacités et de ses ressources.

Depuis, Sarah a commencé à s’exprimer davantage à la maison. En fin d’année, son enseignante a même témoigné des progrès de Sarah, qui ose davantage prendre la parole.

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