Pour rester organisé, efficace et ne pas se laisser submerger, nous te conseillons de trouver ta méthode de travail. Dans cet article tu vas découvrir une technique d’étude qui pourrait changer ta vie !

Qu’est-ce que la méthode Pomodoro ?

La méthode Pomodoro a été inventée par Francesco Cirillo dans les années 1980. Le nom “Pomodoro” vient du minuteur de cuisine en forme de tomate que Cirillo utilisait. Cette méthode consiste à diviser ton temps d’étude en intervalles de 25 minutes, appelés “Pomodoros”, séparés par des pauses de 5 minutes.

Pourquoi utiliser la méthode Pomodoro ?

La méthode Pomodoro est basée sur l’idée que les pauses fréquentes peuvent améliorer la concentration et la productivité.

Elle offre plusieurs avantages :

• Elle permet de visualiser le volume de travail journalier, ce qui facilite l’organisation et l’efficacité.
• La liste des tâches à cocher offre un suivi constant des missions accomplies.
• Voir une longue liste de tâches effectuées à la fin de la journée renforce le sentiment de satisfaction et la motivation.
• Cette méthode optimise l’utilisation du temps et accentue l’efficacité de tes sessions d’étude ou de travail.
• En divisant ton temps d’étude en petits blocs, tu peux rester concentré et motivé tout en évitant d’être submergé.

Comment utiliser la méthode Pomodoro ?

• Choisis une tâche : Cela peut être n’importe quoi, de la révision d’un chapitre de biologie à la rédaction d’une dissertation d’histoire.
• Règle un minuteur : Pendant 25 minutes, concentre-toi uniquement sur cette tâche. Si tu penses à autre chose que tu dois faire, note-le sur un morceau de papier pour ne pas t’éparpiller.
• Prends une pause : Lorsque le minuteur sonne, arrête de travailler et prends une pause de 5 minutes.
• Répète : Après ta pause, règle le minuteur sur 25 minutes et recommence le processus. Après avoir terminé quatre Pomodoros, prends une pause plus longue de 15 à 30 minutes.

Adapter la méthode à ton emploi du temps

Adapter la méthode Pomodoro à ton emploi du temps est plus facile que tu ne le penses. Voici quelques étapes pour t’aider à commencer :

Regarde ton emploi du temps et identifie les moments où tu as du temps pour étudier. Cela pourrait être après l’école, le soir ou même pendant tes heures libres à l’école.

Une fois que tu as identifié tes créneaux d’étude, commence à planifier tes Pomodoros.

Il existe de nombreuses applications et sites web qui peuvent t’aider à suivre tes Pomodoros. Tu peux également utiliser un simple minuteur de cuisine ou l’horloge de ton téléphone.

Comme pour toute nouvelle habitude, la clé est la constance. Essaye de faire au moins un ou deux Pomodoros chaque jour pour commencer. Au fur et à mesure que tu t’habitues à la méthode, tu peux augmenter la fréquence de cette méthode de révision.

Il est important de se rappeler que cette méthode est un outil, pas une règle. Si tu trouves que 25 minutes est trop long ou trop court, n’hésite pas à ajuster la durée de tes sessions pour qu’elles correspondent à ton style d’apprentissage.

La méthode Pomodoro est là pour t’aider, pas pour te stresser. Si tu trouves que cela ne fonctionne pas pour toi, ce n’est pas un problème. Chacun a sa propre façon d’apprendre et il est important de trouver ce qui fonctionne le mieux pour toi.

Comment rester motivé pendant ses pauses ?

• Fais quelque chose que tu aimes : Lire un livre, écouter de la musique, faire une promenade rapide ou même jouer à un jeu rapide peut t’aider à te détendre et à te ressourcer pour ta prochaine session de travail.
• Bouge : Faire de l’exercice pendant tes pauses peut t’aider à rester énergique et concentré. Cela peut être aussi simple que de faire quelques étirements ou de marcher autour de la pièce.
• Reste hydraté et mange des snacks sains : Boire de l’eau et manger des snacks sains peut t’aider à rester concentré et énergique. Essaye des fruits, des noix ou du yaourt.
• Pratique la pleine conscience : Prends un moment pour te concentrer sur ta respiration et te recentrer. Cela peut t’aider à te détendre et à te préparer pour ta prochaine session de travail.
• Évite les distractions numériques : Il peut être tentant de vérifier tes réseaux sociaux ou tes courriels pendant tes pauses, mais cela peut te distraire et rendre plus difficile le retour au travail. Essaye de garder tes pauses sans écran.

L’objectif des pauses est de te donner le temps de te ressourcer et de te préparer pour ta prochaine session de travail. Alors, fais quelque chose qui t’aide à atteindre cet objectif. 

Conclusion

La méthode Pomodoro est une technique d’étude simple mais efficace qui peut t’aider à rester concentré et productif.

Alors, pourquoi ne pas l’essayer pour ta prochaine session d’étude ? Tu pourrais être surpris de voir combien tu peux accomplir en 25 minutes !

La page La méthode Pomodoro : pourquoi l’adopter ? est proposée par Maxicours : myMaxicours.

La concentration permet de travailler avec efficacité et facilité. On l’associe parfois, à tort, à un effort d’intense attention, qui mobilise toute l’énergie. Un peu à l’image d’un chercheur qui froncerait les sourcils et dont l’esprit serait focalisé de façon excessive sur un point précis, le corps tendu dans un effort pour comprendre… Ce type de concentration existe, mais il n’est ni efficace, ni agréable. Regardez plutôt quelques-uns de nos inventeurs : Newton sous son arbre ou Archimède dans son bain. C’est dans un état de détente qu’ils ont eu leur eurêka ! La véritable concentration, celle qui permet de travailler avec facilité, efficacité et plaisir, correspond à un état de détente intérieure et non à une pression ou une tension. Elle n’est pas consommatrice d’énergie, mais permet au contraire une grande disponibilité d’esprit pour apprendre, découvrir et comprendre.

Votre enfant rencontre peut-être des difficultés de concentration :

• Il a tendance à s’éparpiller et à ne pas tenir en place et vous aimeriez lui donner des conseils pour lui apprendre à canaliser son énergie.
• Il a tendance à « être dans les nuages ». Son esprit vagabonde sans pouvoir se fixer sur un point et vous aimeriez l’aider à recentrer son attention.

L’objectif de cette fiche pratique est de vous donner des clés pour aider votre enfant à se concentrer naturellement.

Un cas pratique pour résoudre les problèmes de concentration

Nos conseils pour l’aider à être plus concentré

Pour aider votre enfant à se concentrer naturellement, il est tout d’abord essentiel de définir un cadre de travail et de vie, qui va l’y aider.

Maintenant que vous avez déterminé un cadre propice à la concentration, voici quelques conseils pratiques pour aider votre enfant. Le niveau de concentration de votre enfant est le reflet de son « calme intérieur ». Dans concentration, il y a « centre ». Se concentrer, c’est donc avoir la capacité d’être au centre de soi-même au lieu de se laisser happer par l’extérieur.

Adaptez le ton et le rythme de votre voix

Si votre enfant est très agité, parlez-lui avec douceur d’une voix posée et lente. Cela l’aidera à ralentir son rythme.

La page Comment aider votre enfant à mieux se concentrer ? est proposée par Maxicours : myMaxicours.

Déjà qu’est-ce qu’un homonyme ? 

Un homonyme est lorsque deux mots se prononcent de la même façon, mais qu’ils ne s’écrivent pas pareil.
 

Voici des exemples d’homonymes et leurs définitions :  

• Avoir affaire ou avoir à faire ?
  Lorsque l’on écrit avoir affaire, avec le dernier mot tout attaché, cela signifie avoir à discuter, à traiter avec quelqu’un. 
  Par exemple : J’ai eu affaire à mon patron aujourd’hui.
  
  Par contre, lorsque l’on écrit avoir à faire en 3 mots, cela désigne le devoir d’accomplir une tâche. 
  Par exemple : J’ai trop de choses à faire en ce moment. 

• Davantage ou d’avantage ?
  Davantage, tout attaché, veut dire plus (+).
  Par exemple : Tu as davantage de travail que ta sœur. 
  
  D’avantage avec une apostrophe a une tout autre signification. Il se rapporte à un bénéfice, un intérêt. 
  Par exemple : Je ne vois pas d’avantage à cette méthode de travail. 

• Voix ou voie ?
  Une voie avec un “e” à la fin signifie un chemin, un passage. 
  Par exemple : Ce véhicule a emprunté la voie réservée aux camions.
  Attention, il existe des sens figurés à ce mot. 
  Par exemple : Ce projet est en bonne voie. C’est une espèce en voie de disparition.  
  
  Une voix avec un “x” à la fin fait référence à une voix humaine, des sons produits par la bouche ou la gorge. 
  Par exemple : Elle a une voix aigüe. 

• Différent ou différend ?
  Le mot différent avec un “t” à la fin indique une non-ressemblance. 
  Par exemple : Nos deux filles sont différentes, l’une est brune et calme et l’autre est blonde et hyperactive.
  
  Lorsque l’on a un différend avec quelqu’un, nous avons un désaccord. 
  Par exemple : J’ai eu un différend avec mon voisin, il a fait une fête le weekend dernier et il n’a pas voulu baisser la musique.  

• Dessin ou dessein ?
  Un dessin est une représentation graphique. 
  Par exemple : nos enfants adorent faire des dessins. 
  
  Alors qu’un dessein est un but, un objectif, une intention. 
  Par exemple : Mon ami a pour dessein de faire un tour du monde.  

• Censé ou sensé ?
  Censé peut se traduire par “supposé”. 
  Par exemple : Il était censé faire ses devoirs, mais il a préféré jouer avec ses copains. 
  
  Sensé veut dire “raisonnable”, “réfléchi”. 
  Par exemple : Ce sont des paroles sensées. 

La page Les homonymes : définition et exemples est proposée par Maxicours : myMaxicours.

Vous souhaitez aider votre enfant à s’organiser, afin qu’il prenne plaisir à faire son travail de façon efficace et autonome. Dans le cas d’un passage au collège par exemple, l’emploi du temps se complexifie, et votre enfant aura peut-être besoin de quelques conseils méthodologiques. Il se peut également qu’il n’ait pas appris à bien organiser son travail – devoirs à la dernière minute, bazar sur le bureau, oublis, retards, etc. – et vous savez combien cela handicape sa scolarité.

L’objectif de cette fiche pratique est de vous donner des clés pour aider votre enfant à améliorer l’organisation de son travail.

Un cas pratique pour résoudre le manque d’organisation

Nos conseils pour l’aider à améliorer son organisation

Établissez un cadre de travail ensemble et responsabilisez-le

Pour aider votre enfant à s’organiser et à réviser, vous pouvez établir avec lui un cadre de travail dès la rentrée. En fonction de son emploi du temps scolaire et extrascolaire, vous pouvez organiser ensemble le déroulement des devoirs. Voici un exemple de cadre de travail :

• Prendre connaissance des devoirs à faire,
• Revoir et apprendre les leçons de la journée puis faire les devoirs,
• S’il reste du temps, s’avancer dans son travail,
• Préparer son cartable ou son sac pour la journée suivante.

Au début, vous serez présent pour l’encourager à se tenir au cadre de travail établi. Valorisez-le après chaque séance de travail et responsabilisez-le jusqu’à ce qu’il gère seul l’organisation de ses devoirs et qu’il puisse bien réviser ses cours.

Donnez-lui quelques conseils de méthodologie de bon sens

• Revoir les leçons du jour le soir même (pour éviter de tout apprendre d’un seul coup la veille d’un contrôle) et préparer les questions sur les notions incomprises à demander à l’enseignant le lendemain (ou regarder sur Maxicours.com).

• Relire les leçons et revoir les exercices d’application avant de faire les devoirs.

Notre réponse au cas pratique pour l’aider à mieux s’organiser

La page Comment l’aider à mieux s’organiser ? est proposée par Maxicours : myMaxicours.

Au cours de la scolarité de votre enfant, vous serez plus ou moins impliqué dans le suivi de ses devoirs, selon son autonomie et sa motivation. Votre présence sera sûrement utile au début de sa scolarité (premières classes de primaire), mais votre rôle consiste surtout à le guider vers l’autonomie.
Il vous arrive certainement d’aider votre enfant à faire ses devoirs et ces moments se transforment peut-être parfois en cauchemar : cris, pleurs, énervement, longueur…
L’objectif de cette fiche pratique est de vous donner des clés pour faire de cet accompagnement un moment constructif pour votre enfant et pour vous-même.

Un cas pratique sur le suivi des devoirs

Nos conseils pour faire un suivi constructif des devoirs

Communiquez des règles de vie claires

Voici un exemple de règle de vie que vous pouvez instaurer avec votre enfant : « Quand tu rentres à la maison, tu prends ton goûter pendant une demi-heure, puis tu vas dans ta chambre faire tes devoirs, après tu peux jouer jusqu’à l’heure du dîner ». Plus les règles de vie à la maison sont claires, plus il est facile pour votre enfant de se structurer. Il s’agit ensuite de les appliquer sinon les repères restent flous. Retrouvez également nos conseils sur le meilleur moment pour réaliser ses devoirs.

Encouragez-le

Valorisez son travail et ses avancées. Exemple : « Bravo ! C’est tout à fait ça. », « Tu as bien compris cet exercice, c’est vraiment très bien ! »

Proposez-lui de travailler à son rythme

Évitez d’exercer une pression sur votre enfant afin qu’il se dépêche de faire ses devoirs, car c’est souvent, hélas, le meilleur moyen de le bloquer émotionnellement (lenteur, perte de moyens, etc.).

Laissez-lui le temps dont il a besoin et rendez-vous disponible pour ses questions.

Réponse au cas pratique sur le suivi des devoirs

Cette fiche pratique a été réalisée par Caroline Sost, fondatrice de Living School, formatrice et autrice de « S’épanouir à l’école » (Éditions Robert Laffont) sur la base des principes de la Psychologie d’Évolution©.

Pensez aussi au soutien scolaire en ligne pour un suivi des devoirs plus poussé

La plateforme de soutien scolaire Maxicours sera un complément efficace à votre suivi lors de la réalisation des devoirs. En effet, votre enfant retrouvera tous ses cours en ligne qui pourront enrichir ses notes prises en classe. Et pour les enfants plus grands, le soutien scolaire en ligne leur permettra de travailler en toute autonomie.

En supplément de ces cours en ligne, il est également possible de souscrire à l’option Profs en ligne qui permettra à votre enfant de contacter un professeur certifié de l’Education nationale 6 jours sur 7. Les professeurs seront disponibles pour toutes ses questions relatives à l’aide aux devoirs. Parce que parfois, il est plus facile de faire appel à un professionnel de l’Education pour l’aider à trouver des réponses à ses questions, cette assistance scolaire vous assure de le laisser entre de bonnes mains !

Vous pourrez effectuer le suivi de ses devoirs en ligne grâce à votre espace parent qui vous communique toutes les informations sur les cours révisés et les exercices réalisés par votre enfant, ainsi que sa progression tout au long de l’année scolaire. 

La page Comment faire un suivi constructif des devoirs ? est proposée par Maxicours : myMaxicours.

Analysez les signes 

Si votre enfant semble assez stressé ou agité ces derniers temps, peut-être y-a-t-il eu un changement dans son quotidien qui peut le perturber ? Tout comme les adultes, les enfants sont sensibles aux changements dans les routines car elles sont très rassurantes et permettent d’offrir un cadre confortable pour s’épanouir. Les évènements importants de la vie (rentrée scolaire, décès, naissance…) peuvent impacter fortement leur moral.

Certains signes sont plus perceptibles que d’autres, comme par exemple des cris, des excès de colère ou encore des pleurs. D’autres sont plus sous-jacents, comme par exemple des cauchemars à répétition, des problèmes de respiration ou encore une difficulté inhabituelle à s’exprimer. Parfois, le problème ne vous est pas connu car il peut être rencontré uniquement dans le cadre de l’école, notamment lors de harcèlement scolaire ou de perte de confiance liée à la puberté.

Communiquez verbalement

L’un des premiers outils à utiliser pour apaiser votre enfant lors de ce type de crise reste la communication. Souvent, votre enfant n’arrive pas à gérer une situation par lui-même ou cherche à attirer votre attention par ce type de comportement. En discutant avec lui et en lui demandant les raisons de son comportement, une première porte pourra s’ouvrir pour régler le problème. 

Plus que discuter, vous pouvez aussi demander à votre enfant de décrire ses ressentis sur le moment et comment il pense pouvoir résoudre le problème par lui-même. Certains maux doivent être énoncés à haute voix pour être enfin résolus. 

Proposez des activités relaxantes 

Selon l’âge de votre enfant, plusieurs activités peuvent être utiles pour diminuer la pression. Si certains maux ne peuvent être exprimés par le langage, il est possible d’essayer de communiquer à travers les arts (peinture, poterie, musique…). Par exemple, le dessin est très utilisé en psychologie de l’enfant afin de permettre aux plus jeunes de s’exprimer sans avoir à utiliser des mots compliqués ou simplement pour canaliser leur personnalité. 

De la même façon, il est possible de l’initier à certaines activités relaxantes. Vous pouvez facilement retrouver des bandes sons de relaxation ou encore des vidéos d’ASMR (réponse du méridien sensoriel autonome) qui font appel à plusieurs stimuli visuels et auditifs. Vous pouvez aussi travailler sur la respiration, essentielle pour oxygéner le cerveau et faire passer la douleur. La dernière activité peut être aussi bénéfique pour vous : essayer avec lui la méditation guidée, simple et rapide, cela pourra permettre à votre enfant de se recentrer sur ce qui est important pour lui. 

Demandez une aide externe 

Si malgré vos tentatives pour calmer votre enfant, rien ne semble fonctionner sur le long terme, ne tardez pas à consulter une aide extérieure. Selon les difficultés rencontrées par votre enfant, consulter un professionnel de la santé peut lui permettre de travailler sur ses problèmes dans un cadre neutre et de se livrer d’une autre façon. 

Dans la même idée, si vous n’êtes pas en capacité de canaliser l’énergie ou l’anxiété de votre enfant, vous pouvez trouver des activités extra-scolaires qui agiraient comme exutoire pour lui. Ces activités peuvent être sportives (pour calmer les problèmes d’hyperactivité, de gestion de la colère par exemple) ou encore artistiques (musique, peinture…).   

La page Quelles sont les méthodes pour calmer son enfant ? est proposée par Maxicours : myMaxicours.

Faire un point sur la situation actuelle

Afin d’établir un premier plan d’action, il est bon de faire un point sur les forces et les faiblesses de votre enfant. Cela peut transparaitre comme des facilités en langues et des difficultés en mathématiques, ou plus globalement comme une aisance à l’oral, mais des lacunes à l’écrit. Il faut pouvoir cibler les points d’amélioration afin de les travailler davantage.

Tous les enfants n’ont pas la même capacité de concentration, ni les mêmes sujets d’intérêt. Il est donc possible que certaines matières ou explications logiques prennent du temps à être assimilées pour un élève et pas pour un autre. Avec cette première prise de recul, il sera possible d’identifier s’il y a un problème dans la gestion du temps de travail ou encore si la méthode de travail ne lui convient pas.

Revoir son organisation

L’un des enjeux principaux pour améliorer ses notes repose sur l’organisation de travail pour bien réviser. Si votre enfant veut réussir à restituer ses connaissances correctement, il faudra donc commencer par prendre clairement des notes en classe. Une information écoutée ou vue sera bien mieux mémorisée si l’élève la retranscrit lui-même. Dans cette idée, il faudra aussi accorder de l’importance aux supports utilisés pour qu’ils soient associés à chaque type de connaissance (par exemple, des cahiers plutôt que des feuilles volantes ou encore des trieurs par matière).

Cependant, pour réussir à améliorer ses notes, l’organisation ne se limite pas aux cours : il faut aussi se créer un environnement de travail favorable à la maison. En prenant un temps pour organiser son espace et son planning de révision, il sera plus simple de faire ses devoirs et instaurer une routine favorable aux révisions. Les premières mises en place seront les plus compliquées mais tout deviendra plus simple une fois les actions assimilées.

Reprendre ses notes de cours

En plus de se créer un environnement de travail favorable à la maison, il faut réussir à reprendre l’essentiel de ce qui a été appris durant la journée. La relecture des notes de classe est assez importante pour imprimer une nouvelle fois les informations dans son esprit. De la même façon, relire un cours la veille au soir permet de se remettre plus facilement dans le cours une fois en classe le lendemain.

L’autre façon d’exploiter les notes de classe est la création des fiches de synthèse. Ces dernières sont très précieuses pour les révisions et constituent un élément clé dans l’augmentation des notes de votre enfant. En constituant ses propres fiches de synthèse, il est capable de capter les notions les plus importantes de ses leçons et les retranscrire avec ses propres codes. Il est plus facile de n’avoir que de petites fiches à relire avec l’essentiel plutôt que de longues pages de texte.

S’entraîner pour reprendre les bases et se tester

L’avant dernier point important pour améliorer les notes de votre enfant découle de ce travail de révision : une fois la leçon théorique assimilée, il faut passer à la pratique. Il est possible de s’entrainer de plusieurs façons, notamment en s’aidant des fiches de révision avec un système de questions/réponses. Vous pouvez même l’interroger sur celles-ci afin de mesurer ses connaissances.

Une autre façon de s’exercer résulte à utiliser un outil tiers, que ce soit son livre de cours ou un outil de soutien scolaire. Par exemple sur Maxicours, il est possible de relire des leçons et de s’exercer avec des exercices variés, qui font retravailler les notions de cours sous un angle différent. Les formes d’exercices sont variées et peuvent aller d’un texte à trous, une vidéo interactive ou encore des annales pour les examens importants comme le brevet ou le bac. Il est crucial de se tester un maximum pour réaliser si oui ou non la leçon est bien acquise.

Prendre du temps pour soi !

Un dernier conseil pour améliorer ses notes reste de laisser un peu votre enfant souffler ! Parfois, le stress des études et la pression des parents pour la réussite sont trop forts et cela provoque de l’anxiété chez les enfants. Avec ce type de trouble, il est possible que l’enfant manque de sommeil ou encore ait beaucoup de mal à se concentrer en classe. Il en va de même pour les adolescents en général : ils sont physiologiquement bouleversés et il est parfois difficile pour eux de donner la priorité aux études.

La solution serait donc de chercher un parfait équilibre entre travail et loisirs : comme évoqué plus haut, la constitution d’un planning peut être la clé de tous vos maux ! Et même s’il ne faut pas toujours associer bonnes notes et récompenses, pensez à féliciter et récompenser votre enfant pour ses efforts. Ce n’est pas facile tous les jours de chercher à se surpasser !

La page Comment améliorer ses notes ? est proposée par Maxicours : myMaxicours.

• Des forces, tu reprendras ! Démarre par un bon goûter en rentrant de l’école… Cela te donnera des forces avant de travailler et te permettra de faire une pause avant de commencer. Ta concentration et ta mémorisation seront au top !

• La motivation, tu la trouveras : un travail régulier et tu seras récompensé. Tes professeurs noteront tes efforts, tes notes augmenteront, tes parents ne seront plus sur ton dos et tu ne te sentiras plus à la ramasse ou même en retard…

• Concentré.e, tu resteras : on éteint la télé (même si c’est l’heure de ton programme préféré !) et on pose son portable, stp. Le plus concentré tu seras, le plus vite tu termineras et tu pourras aller profiter de ta console ou de ton téléphone !

• Organisé.e, tu le deviendras ! Mets en place une routine : horaires de travail (as-tu besoin de 30 minutes, d’une heure ou de 2 heures pour faire tes devoirs ?), moment du repas, temps de repos et de détente… N’hésite pas à te créer un planning à la semaine qui te permettra d’organiser les matières ou devoirs à faire sur toute ta semaine. Un peu de travail tous les jours sera plus utile et sympa que de passer toute une soirée à tout rattraper.

• Et la récompense viendra à toi ! Les devoirs faits peuvent te donner droit à une récompense. Cela peut être un moment de loisirs, la visite d’un copain, ton entrainement de sport… Et surtout une satisfaction personnelle et une réussite scolaire.

Si même avec ces conseils, tu as toujours besoin d’aide pour te motiver ou même pour t’organiser, on a la solution pour toi. On t’a sélectionné 5 studygrammeurs qui t’aideront quotidiennement à travailler de manière plus fun.

Alors, prêt.e à t’investir ?

La page Devoirs à la maison : comment travailler dans les meilleures conditions ? est proposée par Maxicours : myMaxicours.

Misez sur la fin de journée

Avec les différentes matières étudiées durant la journée, les enfants reviennent avec une grosse quantité de connaissances. Afin de les ancrer efficacement dans leur mémoire, refaire un point le soir est la solution la plus adéquate. Cela permet d’être exposé à nouveau aux informations, d’avoir un rappel des notions abordées d’un cours sur l’autre, et ainsi, de bien réviser.

Comme nous le préconisions dans nos 5 astuces pour gérer les devoirs à la maison, le premier point important est de laisser un temps de pause entre l’arrivée de l’école et les devoirs. Il faudra donc élaborer une routine du soir avec l’intégration des devoirs après un goûter ou une activité relaxante bien méritée !

Définissez un temps de travail et un temps de loisir

Commencer à travailler après des activités extrascolaires ou une journée bien remplie sera toujours contraignant pour les enfants. Afin d’éviter de les surmener, il faut suivre une trame d’actions et instaurer des routines : c’est là le rôle principal du planning de révisions. Simple à mettre en place et ajustable pour chaque semaine (activités, garde alternée…), un planning pourra instaurer une routine, ce qui est important pour devenir régulier dans son travail.

Avoir un planning permet aussi d’anticiper les devoirs afin de ne pas être dépassé la veille au soir par plusieurs travaux. Cela laisse le temps de lisser la charge de travail et le partage entre études et loisirs. Lorsque les temps sont respectés, il est beaucoup plus facile d’être dans des conditions optimales pour finir ses devoirs et passer à autre chose.

Organisez votre semaine autant que le week-end

Un deuxième temps très favorable aux devoirs reste les matinées de week-end ! Pas besoin de se lever aux aurores, sinon le risque d’endormissement sur les devoirs sera multiplié. En organisant correctement ses travaux et révisions grâce au planning, cela permettra d’avoir un temps alloué au travail et un autre aux loisirs.

Le week-end est aussi propice à l’élaboration des devoirs un peu plus longs, comme les exposés ou encore des préparations aux examens, tels que le brevet ou le bac. Vous l’aurez compris, il faut donc motiver au plus tôt les enfants à se remettre au travail en rentrant de l’école et faire des devoirs une tâche obligatoire les matins de week-end.

N’oubliez pas les révisions pendant les vacances !

Tout comme les week-ends, les petites vacances sont propices aux révisions et à l’élaboration des plus longs devoirs. Si ces pauses sont présentes pour se reposer, il ne faut pas se laisser aller pour autant ! Après une pause de quelques jours, poussez-les à reprendre le rythme de travail les matins, comme cela peut être le cas les week-ends.

Le plus important n’est pas d’avoir un temps d’étude précis et qui fonctionnera à chaque fois mais plutôt de trouver un rythme d’étude qui sera favorable à chaque enfant. N’hésitez pas à tester plusieurs timing pour trouver celui qui convient le mieux à votre enfant !

La page Quel est le meilleur moment pour faire ses devoirs ? est proposée par Maxicours : myMaxicours.

Kézako ?

Le mind map est un graphique (un « arbre de données ») représentant des idées liées entre elles autour d’un sujet central. Il est souvent recommandé de le lire dans le sens des aiguilles d’une montre.

Le but du Mind Mapping ?

Il va te faciliter la vie ! Et surtout t’aider à la mémorisation et l’organisation de la pensée, grâce à une mise en forme graphique, productive et attractive ! Beaucoup de personnes retiennent davantage les informations par la visualisation de celles-ci. La carte mentale est une méthode qui te le permettra. Tu peux d’ailleurs y appliquer le design et les couleurs que tu souhaites pour le rendre encore plus agréable à relire.  

Quels sont les avantages du Mind Mapping ?

• Cartographier une information : la méthode consiste littéralement à “cartographier” ta réflexion sur un thème.
• Extraire de l’information pour mieux la mémoriser : tu pourras ainsi « isoler » l’information essentielle.
• Prendre des notes : c’est une excellente technique créative et logique pour prendre des notes organisées, lisibles et facilement mémorisables.
• Résumer un texte : très efficace pour réduire les informations à l’essentiel, il facilite ainsi l’élaboration de synthèses.

Comment faire ?

Tu peux écrire l’idée principale au centre de ta feuille et l’entourer. C’est autour de celle-ci que tu vas pouvoir tracer des branches au bout desquelles tu noteras les idées secondaires liées au thème central. 

Nos conseils : 

1. Fais une liste des informations et utilise des mots-clés
2. Sois le plus concis possible (max 5 mots par idée)
3. Organise tes branches par niveau (N1, N2,…)
4. Utilise des moyens mémo techniques : couleurs, flèches, dessins, pictogrammes…

Alors, prêt.e à placarder ta chambre de cartes mentales pour y voir plus clair ?

Si tu passes le brevet ou le baccalauréat, n’hésite pas à t’y préparer avec des fiches de révision, des plannings ou encore en écoutant nos podcasts de révisions.

La page Carte mentale ou Mind mapping, comment on fait ? est proposée par Maxicours : myMaxicours.

Instaurer un rythme dans la conception des fiches de synthèse

Afin de ne pas s’y prendre trop tard, il est intéressant de commencer à faire des fiches de synthèse dès les premières heures de cours d’une leçon. Pas besoin d’attendre la fin complète de la leçon, les fiches peuvent être débutées lors des relectures du soir. Cela offre un double avantage : l’enfant gardera non seulement le contenu en tête, mais il s’appropriera aussi les connaissances pour les réinterpréter lui-même. Il est possible d’utiliser des formats différents pour séparer les fiches qui correspondent aux leçons en cours d’apprentissage et celles contenant le résumé complet de la leçon.

Définir ce qui est le plus important à mémoriser

Si votre enfant est déjà organisé dans sa prise de note en classe, ce sera beaucoup plus simple pour lui de mettre en valeur certains contenus. Cependant, il n’est pas très compliqué de ne garder que l’essentiel des notions à retenir ! En effet, d’une part parce que les professeurs insistent sur certains points en classe, d’autre part car les fiches de synthèse peuvent mettre en avant uniquement les mots clés du cours, sans entrer dans les détails.

Petite astuce pour aider votre enfant à construire ses fiches de synthèse : n’utilisez pas seulement ses notes prises en classe, mais aussi d’autres cours présents sur son livre ou encore les fiches de cours Maxicours.com, où les points clés à retenir seront plus faciles à discerner.

Rendre les fiches agréables à lire

Le principe de faire des fiches de synthèse est de laisser l’enfant s’approprier le sujet pour pouvoir restituer ses connaissances. Cependant, nous n’avons pas tous la même façon de mémoriser le contenu, certains seront plus visuels, et d’autres auditifs. Ce qui importe, c’est que votre enfant trouve ses propres codes et la mise en page qui lui convient pour avoir envie d’étudier. La forme des fiches peut elle aussi varier, par exemple avec des fiches cartonnées. C’est une forme très répandue pour les fiches de révision car elles sont assez génériques et en petit format pour aider à synthétiser.

Une autre forme intéressante pour les fiches de synthèse est la carte mentale, beaucoup plus personnelle, c’est un outil graphique qui aide à représenter sa vision des différents sujets. Cela peut être très pratique pour comprendre les liens entre les notions des leçons et même créer une hiérarchie des informations. Si vous avez envie d’en savoir plus, une fiche de cours est disponible sur Maxicours pour les guider dans la création de fiches de synthèse sous forme de carte mentale.

Organiser ses fiches de révision

Afin de ne pas se perdre dans toutes ses fiches, votre enfant peut avoir plusieurs méthodes pour éviter de s’emmêler les pinceaux ! Par exemple, ses fiches de synthèse peuvent avoir :

• un code couleur en fonction des matières
• un titre clair et plus visible
• un numéro en coin de page s’il y en a plusieurs
• des agrafes ou des reliures simples pour garder les pages ensemble
• un classeur défini pour chaque matière

Pour les cartes mentales, si votre enfant préfère les constituer à la main, des portes-vues peuvent être intéressants pour les avoir toutes sous la main. La deuxième option est de numériser ses cartes : il existe beaucoup d’outils afin de les créer en ligne gratuitement. De plus, en les gardant bien rangées dans des dossiers informatiques, il sera possible de les imprimer à nouveau en cas de perte de la fiche physique !

La page Comment faire des fiches de synthèse ? est proposée par Maxicours : myMaxicours.

Organiser ses supports

Bien que certains professeurs exigent des cahiers à grands carreaux, petits carreaux, classeurs ou tout autre format, la première étape est de définir une base dans sa présentation. A chaque début de cours, il est donc intéressant d’écrire le titre du cours ainsi que la date dans la marge, par exemple. Noter celle-ci sera plus simple pour s’y retrouver dans les relectures des leçons le soir et donc gagner du temps sur les révisions.

Pour organiser des notes sur des feuilles de classeur, on pourrait trouver :

• La matière et le titre de la leçon en haut à droite de la feuille
• La date du jour dans la marge
• Le numéro de page en bas à droite

Les cahiers permettent d’avoir une suite logique aux contenus, cependant il peut être intéressant de noter aussi la date dans la marge pour faciliter la relecture au fil de l’année scolaire. Si votre enfant ressent un besoin d’accompagnement sur sa méthodologie, des fiches de conseil sont disponibles en fonction de son niveau sur la plateforme Maxicours !

Utiliser ses propres codes

Les sujets abordés en classe reprennent souvent les mêmes termes, pour prendre des notes en cours rapidement, il peut être intéressant pour votre enfant de se créer un lexique qui lui est propre avec :

• l’abréviation des mots clés du sujet, par exemple, « la seconde guerre mondiale » pourra être remplacée par « la 2GM » ou encore « la WW2 », pour les anglophones ! Pour accompagner cela, il est aussi possible de noter les définitions et leurs abréviations à la fin du cahier, afin de pouvoir les retrouver en cas de doutes sur un terme.

• des symboles pour remplacer des mots dans de longues phrases. Par exemple « plus », « moins », « aucun », « même », « variation », « euro » et bien d’autres peuvent être remplacés. Tout comme pour les mots clés importants, votre enfant peut se créer son lexique pour ne plus perdre de temps !

• des codes couleurs, très utiles pour faire ressortir l’essentiel. Par exemple, il est possible d’utiliser le rouge pour les dates importantes ou des formules, le vert pour les définitions… Ces variations permettront aussi d’identifier les points clés pendant ses révisions.

Le plus important, c’est que votre enfant trouve ses propres abréviations logiques pour s’approprier le sujet. De plus, s’il trouve sa méthode de fonctionnement, il pourra l’appliquer à chaque matière et progressivement réduire son temps d’écriture.

Relire ses notes d’un cours sur l’autre

Prendre des notes en cours commence d’abord par la transmission du message auditif que capte votre enfant. En classe, les informations sont souvent répétées pour permettre aux élèves d’intégrer une première fois le contenu avant de l’assimiler de nouveau grâce à l’écriture. Il est aussi possible de retranscrire l’essentiel à travers des fiches de synthèses, qui permettent de réécrire le cours si les notes sont trop brouillons.

Relire ses cours avant d’aller en classe permettra à votre enfant d’avoir les contenus clés encore frais dans sa tête et de faire les liens plus facilement entre toutes les notions. C’est important car plus il est exposé au contenu, plus il peut se construire un fil logique tout au long de la leçon.

La page Comment prendre des notes en cours ? est proposée par Maxicours : myMaxicours.